On dit que . . .

On dit que Mme Merkel et par ex. M Gabriel disent que « nous soutiendrons des Français ». On dit que « l’économie allemande refuse de faire des concessions à Macron ».

Les politiques responsables et les responsables de l’économie allemandes sont-ils assez bien dadaïstes-surréalistes, peut-être ? Autrement dit, ni la politique ni l’économie françaises n’ont besoin de « soutien » ou des « concessions ». Mais d’abord il faut comprendre qu’une union monétaire est et dont elle a besoin pour son fonctionnement sans friction.

Je regrette alors que je ne suis pas à la place de M Macron maintenant. Parce que ce serait amusant pour moi et mes conseillers aussi qualifiés qu’indépendants (__en tête__), par ex., d’expliquer à Mme Merkel et à M Gabriel _et_ à un certain M Schäuble ou à leurs semblables ce qu’ils doivent faire, s’ils veulent éviter que l’UEM soit détruite, et par conséquence l’UE alors, en bref d’éviter créer de la haine de nouveau

— et ça n’est pas une phrase à cause de 8 mai.

Et puis, s’ils seraient inaptes de comprendre ou, et ce serait également possible, ne voudraient pas comprendre, ce qu’une union monétaire est, et dont elle a besoin pour son fonctionnement sans friction, c’est-à-dire il faut faire savoir la sortie immédiate de la France de l’union monétaire à ces hypocrites d’esprit borné, d’incompréhension et de morgue. Parce qu’il serait donc évident que tels gens comprennent lorsqu’il est trop tard pour agir raisonnablement. De même que des contrats qui constituent des avantages sélectifs ne peuvent plus être valides.

Alors, M Macron, êtes-vous un apprenti sorcier seulement ou un vrai homme de connaissance de capacité de s’imposer ? Avez-vous des conseillers aussi qualifiés qu’indépendants (__en tête__) comme vous en avez besoin maintenant ?

© Joachim Endemann (__EndemannVerlag__)