Le régime Macron, met-t-il en œuvre la politique de l’UE lobbycratique ? — Et puis ?

Bien sûr,
c’est sa tâche …

… vous vous attendiez à autre chose ?

Et en raison que la police est un des bras des forces exécutives d’État, aussi elle fonctionne d’après les ordres politiques de l’UE lobbycratique. Mais ce n’est pas tout, parce que, maintenant, il est évident que les forces d’armées elles-mêmes servent cette UE lobbycratique dominée par l’hégémon allemand.

En d’autres termes, le régime Macron
est prêt à tuer les Français
au nom de la politique lobbycratique de l’UE
— si les Français y sont opposés.

Il n’est pas facile de prétendre que la police du régime Macron agit pour lutter contre la violence, car la violence vient de l’objectif politique de l’UE, qui est exécutée par le régime Macron en France

— ainsi que les autres régimes des pays membres de cette UE
agiraient contre
la masse de la population respective
de leurs États-nations.

En vérité,
ceux qui n’ont pas d’autre moyen
de faire entendre leur voix

ont,

bien sûr,

le droit de recourir à la violence.

Il est avéré que depuis de nombreuses années,
les droits des Français ordinaires,
c’est-à-dire la majorité,

et pas seulement les leurs,

sont bafoués.


(__Pensez par ex.
aux longues grèves de 2016
contre la loi dite « El Khomri » ou
la vente d’Alstom à General Electric
__).


Exactement au moment
où le pouvoir de l’Etat
est dirigé contre son
propre peuple,

le monopole de violence de l’Etat

expire.


Je le répète :

Exactement au moment
où le pouvoir de l’Etat
est dirigé contre son
propre peuple,

le monopole de violence de l’Etat

expire.

Mais ce n’est pas tout, car tous les autres régimes néo-libéraux des États membres de l’UE sont également potentiellement dirigés contre leurs populations respectives, et ils dirigeront en effet le pouvoir de l’État contre eux si la masse des populations concernées se rebelle réellement à la politique néo-libérale de l’UE dirigée contre eux.


Par conséquent,

il est tout simplement faux de croire
que la police serait du côté des citoyens.

Elle est toujours du côté de l’État
— à savoir dans l’UE,
la police est du côté de cette
Empire de la paix orwellien.

Si les intérêts du pouvoir d’Etat coïncident avec ceux du peuple,
il n’y a pas de problème.

Mais

ce n’est le cas que
si l’État est réellement gouverné par le peuple.

Ce n’est pas le cas dans les sociétés bourgeoises,
c’est-à-dire les Etats-nations.

En fait, jadis, l’élite de pouvoir bourgeoise n’a pris le pouvoir que de l’ancienne élite

— avec l’aide du peuple.


(__La date symbolico-mythique : la prise de la Bastille le 14 juin 1789, mais plus important pour unir la masse de la population : la Fête de la Fédération exactement un an plus tard. Mais ce n’était pas la fin de la révolution, car ce n’est que dix ans plus tard que ce fut le cas. Seul le mythe de la liberté, de l’égalité et de la fraternité subsiste. Cela signifie que l’objectif de la révolution n’a pas encore été atteint : le pouvoir du peuple, même s’il est inscrit dans la Constitution.__).


Aujourd’hui, cette élite de pouvoir bourgeoise détruit tout ce qui, jusqu’à présent, a potentiellement donné au peuple des possibilités de participation politique — et celles-ci sont et étaient seulement symboliques, parce que ceux qui peuvent « voter pour eux » ne sont pas choisis par eux. Ce processus a augmenté la vitesse après la fin de la guerre froide. Cela signifie que nous vivons actuellement une reféodalisation des Etats bourgeois. En Europe, cela mène à un Empire de la paix orwellien appelé l’UE.


Mais ce processus ne suit aucune loi naturelle,
donc il pourrait être inversé.

Pour moi, le début du processus de reconquête de la démocratie est le mouvement des Gilets Jaunes. Au cours de ce processus, toute la créativité des gens est réactivée, mais pas pour les autres, mais pour leurs propres intérêts, et ces intérêts sont ceux de la communauté et de l’individu — donc pas aux dépens des autres. Tout le potentiel de créativité qui existe en chaque être humain pourrait alors se réaliser à nouveau. Et cela est possible lorsque les personnes âgées avec leur expérience professionnelle et personnelle se réunissent avec les jeunes avec leur véhémence. De cette manière les différentes couches de la population se réunissent à nouveau — certainement non pas dans le sens nationaliste, mais dans le sens républicain.

Je crois que tous les mouvements sociaux, qu’ils, par ex., se veuillent engager pour le climat, se plaignent du mauvais développement du système scolaire, de la détérioration des conditions de travail et de vie des jeunes et des vieux, etc., devraient maintenant combiner leurs manifestations le samedi, c’est-à-dire avec celles du mouvement des Gilets Jaunes. Car tous ces mouvements doivent avoir un objectif commun : la reconquête de la démocratie, sinon aucune de ses revendications ne pourra être satisfaite, pas même les questions environnementales naturelles.

Parce que, par ex., si nous nous fixons la tâche sociale de transformer l’économie pour que le mode de production soit le plus respectueux possible de l’environnement, la masse de le population doivent pouvoir se permettre les produits durablement fabriqué qui, puis, sont plus chers.

Il serait encore mieux, par exemple, que l’État construise un complexe industriel ou reprenne un complexe existant dans lequel tout serait développé et produit dans le respect de l’environnement. Ce serait le générateur d’impulsions pour les entrepreneurs privés. Ce serait un grand plaisir pour tout le monde, qu’il s’agisse de travailleurs, de scientifiques ou d’ingénieurs, d’y travailler – et chacun y apporterait ses idées pour le processus de production, etc.

Cela aurait un effet positif dans toutes les régions du pays et, par ex., aurait aussi une influence positive sur l’éducation scolaire et universitaire, où tout serait enseigné dans un mode de vie socialement utile et respectueux de l’environnement : relatifs au logement, la vie culturelle (__y compris l’école et la formation professionnelle__), le transports publics, le travail _et_ de libeller des bonnes lois.

Si nous sommes dans cette phase du processus, nous sommes sur la bonne voie — et nous pourrions dire à juste titre que c’est notre État.

Pour pouvoir initier ce processus de démocratisation, nous avons besoin d’un levier et je crois que ce levier est le mouvement des Gilets Jaunes, parce qu’ils sont vivement intéressés à une société humaine donc républicaine.

Pour tout cela, nous avons besoin d’une main politique libre. Après tout, ce processus nécessite une démocratie directe, ce qui n’est pas possible dans le cadre du lobbying de l’UE, d’autant plus que nous devons également protéger notre propre économie pendant la phase de reconstruction.

— C’est une autre raison pour laquelle
le Frexit serait nécessaire.




Pour comprendre la démocratie directe,
voir la conférence d’Etienne Chouard :

« Chercher la cause des causes » sur YouTube.
La version courte:

Version longue (__audio-podcast__):


Voir aussi

« Le Message — comprenez le, diffusez le, reprenez le pouvoir ».



Afin de comprendre ce qui est nécessaire pour créer une société que l’on peut appeler à juste titre une société humaine, c’est-à-dire une société créée avec le peuple, il est recommandé de lire le texte suivant que j’ai écrit en hommage au mouvement des Gilets Jaunes.

Ce volume n’est actuellement disponible qu’en format e-book, c’est-à-dire en format PDF. Cela est dû au fait qu’il n’a pas encore été relu, car, jusqu’à présent, nous n’avons trouvé personne qui maîtrise si bien la langue français qu’une relecture ait du sens. Cependant, l’auteur suppose que d’éventuelles inexactitudes grammaticales n’influenceraient pas le flux de la compréhension et ne feraient pas du texte une insulte à l’œil. Jusqu’à cette clarification, ce livre électronique peut être téléchargé gratuitement : la citation est autorisée, si la source est indiquée.

Il est concevable que le texte soit traduit en anglais, parce que dans le monde anglophone il y a des réactions notables aux événements en France, mais pas en allemand, puisqu’il n’y a apparemment aucune demande en Allemagne.

© Joachim Endemann (__EndemannPublisher__)