Quelques commentaires sur une documentation de propagande distribuée par « France Culture », qui est bien adaptée pour servir d’exemple des méthodes de propagande actuelles dans l’Empire de la paix de l’UE orwellien.

Source de la discussion.
Le sujet :

Ma réponse première à cette pièce de propagande:

Existent-t-ils des rapports sur ce qui se passe réellement aujourd’hui, ou sur ce qui s’est passé il y a quelques années à peine ?

Ou est-ce que tout cela n’est qu’exprimé dans la langue orwellienne

— peut-être pour le divertissement des personnes
ayant des troubles de l’audition et de la parole ?

Ne pas voir qui produit d’abord le mal et
qui prétend ensuite qu’il faudrait apporter la démocratie ?

La démocratie ?

Ou s’agit-il d’une confusion collective ?

Enfin, les résultats montrent que les satellites des élites de pouvoir européennes produisent régulièrement des choses très contradictoires au sujet de la démocratie

— au moins
pendant 520 ans.

Ce sujet a-t-il jamais été plus qu’une note marginale
chez les intellectuels euro-américains ?

En Allemagne, on connaît même toute une
« culture de bienvenue »
— à condition que la caméra soit en marche.

Mais, il va de soi qu’il faut bientôt bombarder à nouveau …

Car que se passerait-il dans le monde
si « nous » n’assumions pas plus de responsabilités ?

Non pas pour ce que « nous » faisons
ou ce que « nous » volons,
mais uniquement à cause d’une « nécessité factuelle ».

Comment pourrait-il en être autrement,
leur propre conception de la démocratie
est elle-même très contradictoire,

c’est le moins qu’on puisse dire.

Et puis,
ne voyez-vous pas qu’il faut donc
de nombreux voyous déguisés en forces de sécurité,
comme c’est déjà le cas à
l’Ouest de cet « Empire de la paix »,
où sont traitent mal les simples Français » ?

C’est dégoûtant ?

Ou pas encore assez dégoûtant ?



… Qu’est-ce qui distingue un hypocrite ?

Peut-être en étant un hypocrite culturel,
dont son « costume » est-il élimé ?



En bref, comment l’UE devrait-elle toucher le cœur des citoyens ? Le cerveau des gens n’y a pas accès non plus, à savoir qu’ils ne sont bien sûr pas impliqués dans les décisions politiques, car c’est une entité lobbycratique.

Il faut avoir donc de nombreux voyous
déguisés en forces de sécurité
qui
seront bientôt nécessaires sur son territoire entier.

Je donne rarement des conseils :

Qui peut,
doit quitter cet Empire de la paix orwellien,

où tout est chimérique et plein d’hypocrites,
par conséquent,
où l’élite parle déjà couramment l’orwellien.

Alors, qu’est-ce qu’on fait ?



La remarque suivante de la personne qui a posté cette pièce de propagande :

« En clair, que voulez vous dire ?


Ma réponse à cette remarque :

Vous pourrez critiquer la grammaire et la syntaxe de mon texte, mais il ne peut y avoir aucun doute sur la clarté du contenu. En d’autres termes, qu’est-ce qui ne vous semble pas clair à ce sujet ?


La remarque suivante de la même personne :

Je ne critique rien monsieur, je cherche peut-être le rapport avec la littérature. »


Ma réponse à cette remarque :

Vous cherchez un lien avec la littérature ?
À mon avis,
le fait que quelqu’un traîne des livres à travers l’image
ne s’avère pas encore être quelque chose de littéraire.

D’autre part, il y a la question :

qu’est-ce qui distingue ce film de « France Culture »
d’un film de propagande ?

Eh bien, la tâche d’un radiodiffuseur culturel est d’expliciter un contexte, et non pas de thématiser une partie trompeuse d’un contexte, car c’est pour le moins très proche de la propagande

— dans ce cas-ci emballée d’un certain mode.

Vous savez quel rôle ont joué les
services secrets occidentaux en Syrie, n’est-ce pas ?

La question se pose donc :

qu’est-ce que « France Culture » veut me dire,
si ce n’est pas de la propagande ?

Votre Président, n’a-t-il pas dit récemment que la Syrie avait besoin d’une intervention militaire ? Il y a quelques jours, votre Président n’a-t-il pas exprimé son

« idée nouvelle » de « l’UE » ?

Mme Merkel n’aurait pas pu dire cela, bien que cette personne, en tant que porte-parole de l’élite de pouvoir allemand, le voit de la même manière.

Alors M. Macron l’a dit.

C’est donc un tandem franco-allemand si impie qui dirige cette Union européenne, et c’est donc, au sens orwellien du terme, un « empire de la paix ».

Et cette « idée » de votre Président,
ne signifie-t-elle pas que
l’UE doit devenir ce qu’on appelle un État policier ?

Ne parlait-il pas de « puissances étrangères »,
comme le fait un paranoïaque,
qui voulait influencer l’opinion des
masses populaires
dans les Etats membres de cet
« empire de paix de l’UE » ?

Mais cela, Madame,
c’est une attaque directe contre la liberté d’expression

— voilà contre la littérature.



La remarque subséquente d’une autre personne.
Le contenu de cette remarque :

Je vais tenter faire le lien littéraire qui n’existe pas dans le post de monsieur Endemann. Il fait référence plusieurs fois à Orwell, 1984. La novlangue est un concept issu du roman, certes, repris abondamment, à tel point que seuls „novlangue“ et „big brother“ sont connus de ceux-là même qui n’ont pas lu 1984. Mais ce n’est pas central dans 1984. Ce qui est central, c’est l’abolition de toute mémoire, quelle soit collective ou privée, et c’est une préoccupation essentielle. Annihiler la mémoire équivaut à abolir toute humanité et obtenir la soumission. La novlangue est une conséquence et une manière d’entretenir ce vide mémoriel. Dans nos sociétés, la mémoire est encore bien présente, les commémorations le montrent. On n’en est donc pas à la société d’Orwell.

Ma réponse à cette remarque:

Non, je ne parle pas de « 1984 » parce que c’est « seulement » un roman, que j’ai lu dans les années 1970, qui était le thème de l’école à l’époque. L’enseignant avait rarement une bonne compréhension de la littérature.


(__D’ailleurs,
toute la littérature est politique,
même ceux qui veulent être apolitiques.
Cela signifie que la
littérature est l’une des expressions ou
l’un des résultats d’une politique pratiquée.__)


D’autre part, je voudrais exprimer que la terminologie de l’élite fonctionnelle de l’UE est basée sur ce que j’appelle la « langue orwellienne », ce qui déclenche bien sûr une certaine association, mais au-delà de ça, il n’y a pas de terrain d’entente. Car, comme je l’ai dit,
« 1984 » n’est qu’un roman. Ce que nous avons aujourd’hui, par contre, c’est ce que quelqu’un (__probablement Mark Twain__) a appelé : « la réalité dépasse la fiction ».


(__Certes, le contexte de cette phrase de
Mark Twain est différent,
mais en ce qui concerne l’affirmation que
« 1984 » n’est qu’un roman,
alors que la réalité évoluerait au-delà,
cette phrase peut être utilisée dans ce contexte
.__)


Vous dites :

Dans nos sociétés, la mémoire est encore bien présente, les commémorations le montrent. On n’en est donc pas à la société d’Orwell.

Bien sûr, nous ne sommes pas dans une société dite d’Orwell, parce que nous sommes dans une société façonnée conforment au marché, ou en d’autres termes, nous fonctionnons dans l’intérêt de grands intérêts économiques. Cela n’a rien à voir avec la soi-disant pensée conspirationniste, mais depuis que « l’État » existe en tant que forme d’organisation des sociétés humaines. En d’autres termes, s’il n’y a pas d’élite de pouvoir, il n’y a pas d’État. L’État est donc un instrument de pouvoir. Ce que l’on peut dire avec certitude, c’est ceci : Aujourd’hui, cet instrument est entre de mauvaises mains et devient ainsi une menace pour la masse humaine. Cependant, il ne s’agit pas d’un processus génétique, mais d’un processus déterminé par les intérêts des élites de pouvoir diverses — en outre, ce processus ne peut être mené dans la bonne direction que par la démocratie directe.

Cependant, cela n’est
mentionné qu’en passant ici.

Pour cette raison, le système, auquel sont soumises la plupart des gens en Europe, j’appelle « lobbycratique », donc « l’entité politique lobbycratique de l’UE » Mais une telle formation sociale a besoin d’une nomenclature correspondante, qu’elle a en commun avec une « société à l’Orwell », parce qu’il serait dangereux de dire aux gens la vérité sur ce système : collectivement, ils ne suivraient plus l’élite fonctionnelle de l’UE. Par exemple, il y a les termes orwelliens suivants qui sont déjà bien ancrés dans l’esprit des gens :

Les « réformes structurelles » (__pour le « démantèlement social »__),

le « populisme » (__pour les déclarations qui contredisent l’idéologie néo-libérale, qui en réalité sont en fin de compte le résultat des politiques néo-libérales elles-mêmes pratiquées__),

« post-factuel » (__qui, soit dit en passant, est mal utilisé, ce qui doit à son tour être compris comme une expression satirique réelle de l’élite fonctionnelle de l’UE, c’est-à-dire comme si quelqu’un avait plaidé « au-delà » des faits, ce qui est possible bien sûre, mais ce ne serait pas un phénomène nouveau__),

les « guerres altruistes » (__pour les guerres qui sont menées dans l’intérêt de certaines puissances [__donc comme toujours__], mais présentées par ce terme, en conjonction avec une propagande appropriée, parfois présentées comme des « émissions culturelles », afin que même les pacifistes puissent accepter de telles guerres__),

la « concurrence d’intégration » (__jadis appelée « l’impérialisme », et que j’appelle donc le « néo-impérialisme »__).

Bien sûr, il existe aussi des
termes « pré-orwelliens », par exemple
« l’aide au développement ».


Vous parlez du fait que la mémoire sociale est encore bien développée. Vous le pensez vraiment ?

Lorsque j’écoute les discours prononcés

(__que je n’écoute plus en réalité,
parce que ces discours
ne peuvent être qu’hypocrites
__)

lors des journées de commémoration, dont je ne nie certainement pas la signification réelle, écrits par des passionnés de littérature qui,

à dire vrai,

ont besoin de connaître les points les plus fins pour influencer l’opinion publique,

et si je songe en même temps à ce qui
est pratiqué directement ou indirectement,
politiquement ou culturellement,

par ces orateurs de tels discours,
on peut aussi dire pratiqué à la mode criminelle

— à savoir que votre déclaration
citée ci-dessus n’est pas correcte.


(__Au fait, par ex.,
la politique pratiquée est une expression de culture,
car, comme vous le savez certainement :
La « culture » est la seconde nature de l’être humain,
ce qui est nécessaire à cause du
manque d’instincts et de sa « plasticité »
— d’ailleurs,
cette affirmation ne dit rien sur la qualité d’une culture concrète,
parce que même une
société barbare a sa
propre culture
.__)


Votre déclaration ci-dessus est également erronée
parce que seules les personnes qui
n’ont rien à voir avec la vie des gens ordinaires
sont généralement invitées à
telles journées de commémoration.

Toutefois, votre déclaration est aussi fausse
parce que même ce qui ne doit pas être oublié est
mal utilisé à des fins malveillantes.

Vous demandez un exemple ?
Eh bien, je vais vous en donner un qui est exemplaire.

En 1999, un ancien « combattant de rue » du soi-disant mouvement de 1968, alors ministre allemand des Affaires étrangères, a déclaré :

« Auschwitz nous oblige ».

Ainsi, en 1999, le ministre allemand des Affaires étrangères a déclaré :

« Auschwitz nous oblige ».

Peut-être vous pensez maintenant :

« Bien sûr ! ».

Voyez-vous, Madame, c’est ce que c’est »

— parce qu’il a été dit dans
un contexte qui a servi à justifier
une guerre d’agression contre la Serbie !

La conséquence de cet abus répugnant
fut la paralysie du mouvement pacifiste allemand :

« Auschwitz nous oblige » …
à mener une guerre d’agression.

Depuis lors, la militarisation de la pensée en Allemagne a repris.
A l’époque, on parlait orwelliennement encore d’une
« action humanitaire robuste ».
Mais à l’époque de la « reconnaissance juridique »
d’État mafieux du Kosovo (__en 2008__),
le terme « guerre » pouvait déjà être utilisé à nouveau.

C’était normal,
parce que
« nous devons prendre nos responsabilités internationales »,
n’est-ce pas ?

Aujourd’hui, ils parlent,
en langage orwellienne,
de la « guerre altruiste ».

Cela signifie, par exemple, que la célébration des journées de commémoration est devenue un rituel sans contenu vécu, que même les termes utilisés pour décrire l’indicible douleur sont mal utilisés pour tendre la population à une politique du mal et de justifier cette politique.

Qu’est-ce que les citoyens ordinaires pourront
attendre de l’élite fonctionnelle de l’UE ? …

Mais l’élimination de ce que j’appelle la mémoire humaine se fait même systématiquement. Les jeux vidéo, par exemple, servent cet objectif. Savez-vous ce que provoquent ces jeux ? Par exemple, ils ont pour effet que ce que les enfants apprenaient le matin à l’école,

mais ne comprenaient pas nécessairement,

est effacé l’après-midi, pour ainsi dire, en jouant à de tels jeux :

à cause de l’effet beaucoup plus intense de ces jeux.

Eh bien,

veuillez comprendre ce qui précède en réponse à votre remarque :

Je vais essayer d’établir le contexte littéraire qui n’existe pas dans la contribution de M. Endemann .

Et avec cela, le crochet serait donné, ce qui mène finalement à ce qui suit. Car,

 d’autre part,

je voudrais _souligner_ que

le film de « France Culture »,

présenté sur cette page de la littérature FB,
n’est pas un film documentaire,
mais un film de propagande


(__qui pourrait faire l’objet d’une œuvre littéraire,
mais ce serait tout déjà,
ce qui concerne la littérature ou même la « culture »
__),


dont le but n’est pas de clarifier un contexte, mais de mettre un aspect en valeur et de le présenter de telle sorte que les amis de la littérature aient une certaine impression. Il s’agit de rendre les amis de la littérature enclins, c’est-à-dire d’éveiller leur compréhension que la Syrie devrait être bombardée à nouveau dans un avenir proche

… pour restaurer la « culture » là-bas,
bien sûr.

Votre président l’a annoncé il y a quelques semaines.

En vérité, on peut facilement prouver
que la situation catastrophique en Syrie
peut être attribuée à la politique occidentale. (__1__)

Les flux de réfugiés en sont une conséquence. Pire encore pour les élites de pouvoir (__sous la tutelle du soi-disant hégémon allemand__) de l’UE et de ses satellites (__soit l’élite fonctionnelle de l’UE__), c’est que la pression sociale au sein de « l’Empire de la paix de l’UE »

(__ce terme orwellien,
si je ne m’abuse pas,
remonte à votre ministre des Finances,
ou était-ce votre ministre de la
« Défense » ?__)

augmente considérablement.

(__D’ailleurs,
la première réaction sérieuse à cette
augmentation de la pression sociale grave,
soit dit en passant,
est le mouvement des Gilets-Jaunes
.__)

Dans une telle situation, qui s’aggrave également à l’échelle mondiale, les élites de pouvoir de l’UE et leurs satellites en politique, en sciences spin-doctorales, dans les médias et sur le plan culturel établi, n’ont plus beaucoup de possibilités de garder le contrôle

— au moins, l’expérience le montre.

Mais, Madame, je ne veux pas continuer à vous ennuyer avec des questions socio-politiques que je veux encore cuisiner sur le plan littéraire. Parce que quelqu’un doit encore porter le flambeau des Lumières, car ceux qui appartiennent à l’élite fonctionnelle

(__c’est-à-dire les satellites des
élites de pouvoir de « l’Empire de la paix de l’UE »
__)

ont depuis longtemps arrêté de le faire. — Peut-être comme l’expression d’une certaine souffrance des membres de l’élite fonctionnelle qui se manifeste quand ne s’agit-il pas de sécréter des mots creux ?

Sincèrement, Joachim Endemann




1 _ Die tri_logische Sezierung des lobbykratischen Zeitalters, Band II: Zwischenrufe in satirisch-politischen Variationen oder Reale Betrachtungen dadaistisch-surrealer Phänomene in der Lobbykratie, Zwischenruf 28: „Wie das fürchterliche Wort ‘Flüchtlingspolitik’ erst seine eigentliche Bedeutung bekommt“; 2016/2018.




© Joachim Endemann (__EndemannPublisher__)